La vie des autres est un champs d'observation infini où les détails engrangés vous permettent d'avancer en vous-même comme dans une enquête criminelle. On ne s'ennuie jamais à contempler l'heur ou le malheur d'autrui tant il vous renseigne plus efficacement que n'importe quel docteur de l'âme sur vos propres désordres. Tant il est vrai aussi que ce qui vous saute aux yeux, vous irrite ou vous tord les entrailles est le reflet exact de vos propres manques, défauts ou souffrances que vous vous obstinez à niez, à mettre de côté.
Commentaires
Par le Jeudi 11 juin 2015 à 11:16
Ce que je peux aimer ces mots...
Par le Mardi 4 août 2015 à 3:09
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Par le Mercredi 7 octobre 2015 à 11:28
- Oui, cette vallée de larmes, moi je vous le dis, il ne faut plus en entendre parler!
Par le Vendredi 8 janvier 2016 à 10:27
Lire, dit-il, c'est cela toujours : une chose est là, une chose faite d'écriture, un objet solide, matériel, qu'on ne peut pas changer; et à travers cette chose on entre en quelque chose qui fait partie du monde immatériel, invisible,
Par le Jeudi 14 janvier 2016 à 9:46
Ce n'est pas une vie fausse, et ce n'est pas une vie vraie.
Par le Jeudi 5 mai 2016 à 3:49
thanks
Par le Mardi 10 mai 2016 à 4:09
Quand on l'écoutait, on avait envie à la fois envie de rire et de pleurer.
Par le Mardi 24 mai 2016 à 4:25
qui s’est coincé au départ
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Il donne envie, cet extrait !