La mémoire est étrange, on lance un souvenir comme un caillou dans l'onde, mais l'étang tout entier vous prend dans son vertige, sa rumeur de silence.







Il y a toujours une plaine de neige à habiter de sa chaleur, une vitre pour la buée, une page à écrire.







Les notes ne se perdent pas, les gouttes d'eau, les bulles de savon... Je crois qu'il faut d'abord aimer, et puis prendre le temps d'écouter, regarder. Un jour les choses se rencontrent, le temps et l'espace s'effacent.

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